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Selon votre handicap vous pourrez bénéficier d'un ou plusieurs aménagements qui seront proposés par un médecin agréé et validés par le SIEC. Les aménagements peuvent aller d'un simple tiers temps pour composer à la mise à disposition de matériel spécifique (sujet en braille, ordinateur pour amblyopes...). Cliquez ici pour plus d'informations
Oui. Le service des examens et concours n’a pas connaissance de la nature de votre handicap. Seuls les aménagements d’épreuves demandés sont portés à sa connaissance par le médecin désigné par la CDAPH.
Conformément à la réglementation, les chefs de centre et le président de jury sont avertis de ces aménagements d’épreuves. Par ailleurs, aucune mention de votre handicap ne sera portée sur vos copies, vos bordereaux d’interrogation et sur les documents officiels que vous recevrez éventuellement (diplômes, relevés de notes, attestations...).
Les date d'inscription aux examens sont publiées dans l'agenda, dès qu'elles sont officielles.
D'autres informations peuvent être données sur les entrées agenda (lien pour s'inscrire et documentation)
Retrouvez toutes les informations de ces examens dans ce dossier dédié.
L'organisation horaire des épreuves des concours et examens doit laisser aux candidats handicapés une période de repos suffisante entre deux épreuves prévues dans la journée. Les recteurs veillent à ce que les chefs de centre préservent systématiquement, pour les candidats qui auront obtenu un temps d'épreuves majoré, un temps de repas et de récupération qui ne devra pas être inférieur à une heure. Dès réception de votre convocation, vous devrez prendre l'attache des chefs de centre pour vous accorder avec eux sur les horaires décalés avec lesquels vous composerez (plus tôt le matin et/ou plus tard l'après-midi). Le décalage horaire ne peut excéder une heure.
Oui. La demande d’aménagement doit être formulée dès l’ouverture des registres d’inscriptions à l’examen ou au concours pour les candidats dont le handicap est connu au moment de l’inscription. La déclaration se fait sur internet.
Institué par le décret n° 2017-791 du 5 mai 2017, le certificat de professionnalisation en matière de lutte contre le décrochage scolaire (CPLDS) atteste la qualification des personnels appelés à participer aux missions mises en place dans les services académiques et départementaux et dans les établissements du second degré de l'enseignement public et privé sous contrat, pour prévenir le décrochage scolaire et accompagner les jeunes qui bénéficient du droit au retour en formation initiale.
Seules les personnes inscrites à la formation via le plan académique de formation seront retenues pour candidater à cet examen.
Peuvent se présenter au certificat de professionnalisation en matière de lutte contre le décrochage scolaire :
- les personnels d'enseignement et d'éducation de l'enseignement public, titulaires et contractuels employés par contrat à durée indéterminée,
- les maîtres contractuels et maîtres délégués employés par contrat à durée indéterminée des établissements d'enseignement privés sous contrat.
Les personnels intéressés peuvent s’informer auprès du Rectorat de leur académie d’origine.
La formation s’organise sur une année scolaire. Elle comporte des modules de formation théorique, d’approfondissement et de mise en situation professionnelle.
La formation de préparation à l'examen du CPLDS n'est pas une obligation. Certains personnels ont construit les compétences attendues dans le cadre de leur expérience professionnelle et n’auront pas besoin de la formation pour passer l’examen.
Pour les académies de Créteil, Paris et Versailles, les inscriptions se déroulent sur le site de la maison des examens : www.siec.education.fr.
Les pièces à joindre au dossier d’inscription sont une pièce d’identité et les justificatifs administratifs (contrat de travail, arrêté de titularisation…).
L'examen pour l'obtention du certificat de professionnalisation en matière de lutte contre le décrochage scolaire comporte 2 épreuves devant une commission :
- Épreuve 1 :
L'épreuve consiste en une séance de formation d'une durée de 30 minutes avec plusieurs jeunes dans le cadre d'une action de lutte contre le décrochage scolaire.
Cette séance de formation est suivie d'un entretien de 15 minutes avec la commission.
- Épreuve 2 :
L'épreuve est une étude de cas d'une durée de 60 minutes liée à la problématique de la lutte contre le décrochage scolaire suivie d'une présentation et d'un entretien avec la commission d'une durée de 30 minutes.
À partir de l’étude de cas qui lui est proposé, le candidat formule un diagnostic et des propositions. Cette présentation qui n’excède pas 15 minutes est suivie d’un échange de 15 minutes avec la commission.
Sont réputés être titulaires du CPLDS:
- les enseignants titulaires recrutés par la voie des concours de recrutement de professeurs certifiés et de professeur de lycée professionnel dans la section coordination pédagogique-ingénierie de formation ;
- les personnels d'enseignement et d'éducation, titulaires ou employés par contrat à durée indéterminée exerçant leur activité à temps complet depuis au moins 3 ans à la date d'entrée en vigueur du décret n°2017-791 du 5 mai 2017, dans le cadre des missions mises en place pour prévenir le décrochage scolaire et accompagner les jeunes bénéficiant du droit au retour en formation initiale.
Non : les élèves redoublant la classe de Première doivent de nouveau passer les épreuves anticipées (arrêté du 15 septembre 1993).
Non : les élèves redoublant la classe de Première doivent de nouveau passer les épreuves anticipées (arrêté du 15 septembre 1993).
La double correction n’est pas prévue par les textes portant réglementation du baccalauréat. Le jury est souverain et aucun recours n’est recevable contre les décisions qu’il a prises conformément aux textes réglementaires (art. D334-20 (baccalauréat général) art. D336-19 (baccalauréat technologique) du Code de l’Education).
La double correction n’est pas prévue par les textes portant réglementation du baccalauréat. Le jury est souverain et aucun recours n’est recevable contre les décisions qu’il a prises conformément aux textes réglementaires (art. D334-20 (baccalauréat général) art. D336-19 (baccalauréat technologique) du Code de l’Education).
Seuls les candidats âgés d’au-moins 20 ans au 31 décembre de l’année de l’examen peuvent passer toutes les épreuves la même année, y compris les épreuves anticipées de première (arrêté du 17 décembre 2007).